À l’extrémité Nord de l’île, à 12 kilomètres du port, Oia est construit sur le rebord de falaises vertigineuses. C’est de loin le plus beau village de l’île. Jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale, il en était le centre économique. Ainsi vous pourrez y voir d’élégantes bâtisses à deux étages aux façades ocres, et aussi un grand nombre d’habitats traditionnels, en partie troglodytiques, aux formes arrondies éclatantes de blancheur ou bien encore vivement colorées. Et surtout un nombre incalculable de chapelles aux coupoles bleues qui font le bonheur des peintres et des photographes.
La rue principale, piétonnière, est pavée de marbre. Elle traverse tout le village et longe la falaise jusqu’aux ruines d’un vieux château fort vénitien. Elle est très commerçante, bordée de magasins principalement tenus par des étrangers, et essentiellement destinés aux touristes : galeries d’art, bijouteries, souvenirs de bon et surtout de mauvais goût. Oia est de même réputé pour son coucher de soleil. Il attire tous les jours des centaines de touristes qui se massent sur les parapets et applaudissent à l’instant magique.
Services publics : banque, médecin, service d’autobus reliant régulièrement Oia à Thira.
A trois kilomètres de Oia se trouvent les plages de sable noir de Paradisos, Colombos et Baxedes pour ceux qui recherchent des vacances tranquilles loin de la foule. Paysages assez sauvages.